Il s’agit de trouver les capacités à faire face aux crises, à adapter les territoires aux transitions (par exemple, la digitalisation, le numérique…) et aux urgences (climatiques, sociales). Mais il n’y a pas une seule approche. Il nous faut donc concilier plusieurs angles pour apporter des réponses opérationnelles et pragmatiques, tout en gardant l’humain au centre de l’écosystème.
L’intelligence artificielle sera l’autre fil conducteur de ces deux jours pour voir quels en sont les enjeux, pourquoi il ne faut pas en avoir peur, comment on peut l’utiliser, à condition d’avoir une éthique et de ne pas faire sans l’humain.